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Pas question de perdre une année

Les cantons excluent de faire répéter l’année scolaire en cours. Les enseignants réclament plus de clarté

Les enseignants demandent des durées maximales claires pour le travail scolaire quotidien. Genève vient de fixer les maxima. © Keystone-archives
Les enseignants demandent des durées maximales claires pour le travail scolaire quotidien. Genève vient de fixer les maxima. © Keystone-archives

Ariane Gigon, Zurich

Publié le 28.03.2020

Temps de lecture estimé : 3 minutes

Formation » Après deux semaines d’enseignement à distance, autorités et enseignants en savent un peu plus sur les mesures qui fonctionnent et les lacunes à combler. Hier, le canton de Genève a fixé des plafonds de temps de travail scolaire à la maison. Une décision saluée par le Syndicat des enseignants romands. De son côté, la Conférence des directions cantonales de l’instruction publique (CDIP) exclut la répétition de l’année, indique sa présidente, la Zurichoise Silvia Steiner.

Une à deux heures par jour de la première à la quatrième année, 90 à 150 minutes de la cinquième à la huitième, et ainsi de suite jusqu’à l’équivalent de la grille horaire en temps «normal» pour les collèges: le canton de Genève a présenté hier les durées maximales de travail scolaire quotidien. C’est ce qu’a aussi demandé le Syndicat des enseignants romands (SER) cette semaine, par courrier à la Conférence intercantonale de l’instruction publique de la Suisse romande et du Tessin,

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