Claire Descombes: «L’écologie est essentielle en politique»
Elections fédérales 2015 • Le 18 octobre prochain, pas moins de 65 candidats estampillés «jeunes» - répartis sur dix listes se lanceront à l’assaut du Conseil national. «La Liberté» a demandé à chaque formation de déléguer à l’un des siens la compétence d’expliquer son engagement. Voici les réponses de Claire Descombes (Jeunes Verts).
Propos recueillis par Louis Ruffieux
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Claire Descombes (Jeunes Verts)
> 19 ans, étudiante, Givisiez
- A quand remonte votre engagement politique? Et pourquoi?
Je suis entrée chez les Jeunes Verts l’an dernier, avec une forte envie de faire bouger les choses et d’amener un peu de dynamisme. J’étais en quatrième du collège et j’étais frustrée d’être entourée de jeunes qui n’avaient pas envie de s’engager.
- Pourquoi ce parti (les Verts) plutôt qu’un autre?
L’écologie est essentielle en politique si on veut pérenniser la planète. Il faut qu’elle soit défendue de façon continue. Tous les partis en parlent quand il se passe un événement comme Fukushima, puis ils s’empressent d’oublier. Les Verts, eux, mettent cette question à la première place.
- Que doivent apporter les jeunes à la politique?
Ils peuvent montrer l’exemple aux autres jeunes, à ceux qui croient que la politique est un truc de vieux. Nous pouvons amener des idées de notre génération, qui n’est pas née dans le même environnement que la précédente.
- Quel est votre modèle politique?
Mes modèles sont mes camarades de parti, souvent plus âgés que moi. Nos échanges sont extrêmement enrichissants pour moi. C’est dans ce milieu-là que je trouve le plus d’exemples.