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Hôpital et fiscalité les opposent

Adversaires pour succéder à Marie Garnier au Conseil d’Etat fribourgeois, la socialiste Valérie Piller Carrard et le libéral-radical Didier Castella reviennent sur le premier tour et sur leurs visions pour le canton

Valérie Piller Carrard: «Je veux attaquer ce deuxième tour avec une gauche unie derrière ma candidature.» «Ce qui compte, c’est d’installer au Conseil d’Etat une personnalité qui rassemble au lieu de diviser.», lui répond Didier Castella. © Charly Rappo
Valérie Piller Carrard: «Je veux attaquer ce deuxième tour avec une gauche unie derrière ma candidature.» «Ce qui compte, c’est d’installer au Conseil d’Etat une personnalité qui rassemble au lieu de diviser.», lui répond Didier Castella. © Charly Rappo

Propos recueillis par Nicolas Maradan et Patrick Pugin

Publié le 08.03.2018

Temps de lecture estimé : 18 minutes

Politique »   Avant le face-à-face final du 25 mars, la socialiste Valérie Piller Carrard et le libéral-radical Didier Castella – les deux finalistes de l’élection complémentaire au Conseil d’Etat – confrontent leurs propositions politiques. Le match opposera non seulement un homme à une femme, un Gruérien à une Broyarde, mais également deux visions du canton de Fribourg.

L’un des constats du premier tour, c’est que ni l’un ni l’autre n’avez signé des scores mirobolants…

Valérie Piller Carrard (VPC): Vu le nombre de candidats en lice, il était clair que les résultats seraient serrés. Je suis pour ma part très contente du mien. A l’évidence, je suis parvenue à convaincre à la fois la gauche et une partie des démocrates-c

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