A la tendance de la provocation à tout-va dans notre monde actuel, je privilégie le bon sens, le respect et la tolérance en société. J’ai allaité mes deux filles au début des années 2000 sans avoir rencontré le moindre souci dans les lieux publics, en appliquant au mieux les règles du savoir-vivre. Si, au lieu d’allaiter «les pieds dans l’eau, installée sur les escaliers du bassin», selon les termes de l’article (lire l’édition de La Liberté du 16 avril, «Un sein à l’air rien que pour bébé»), cette maman avait nourri son enfant dans un endroit plus approprié dans l’enceinte des Bains de Charmey, je suis certaine que personne n’y aurait prêté attention.