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Et si le FIFF imitait Netflix?

Dans les salles obscures fribourgeoises, les losers régionaux n’ont pas encore leur place. © Charles Ellena
Dans les salles obscures fribourgeoises, les losers régionaux n’ont pas encore leur place. © Charles Ellena

Pierre Schouwey

Publié le 23.03.2019

Temps de lecture estimé : 4 minutes

Cinéma »  Jamais à court d’idées, Netflix propose sur sa plateforme une série consacrée aux losers du sport. Du boxeur Michael Bentt à la patineuse artistique Surya Bonaly, en passant par l’équipe canadienne de curling, leur histoire torturée – que je ne vous «spoilerai» pas, c’est promis – est racontée en huit épisodes. Vivement conseillé pour celles et ceux dont l’overdose sportive ne pend jamais au bout du nez. En même temps, si vous vous êtes aventurés jusqu’ici malgré l’opulence d’actualité à l’intérieur de votre cahier préféré, c’est que vous digérez plutôt bien.

Où voulais-je en venir? Ah oui. Jamais à court d’idées non plus et de films coréens, dominicains, sénégalais ou

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