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«Il n’y a pas que la SSR pour s’informer»

L’un des meneurs de No Billag, Jean-François Rime, blâme la radio-TV publique et Doris Leuthard

Et si No Billag passe? «Ce n’est pas à nous de trouver un plan B», répète Jean-François Rime. © Charles Ellena
Et si No Billag passe? «Ce n’est pas à nous de trouver un plan B», répète Jean-François Rime. © Charles Ellena

PRopos recueillis par Philippe Boeglin

Publié le 08.02.2018

Temps de lecture estimé : 9 minutes

Médias »   No Billag semble plafonner: l’initiative populaire qui veut supprimer la redevance radio-TV décline dans les enquêtes d’opinion (61% de «non», selon le 2e sondage Tamedia, publié hier). Mais les jeux ne seront faits que le 4 mars, au soir de la votation. En attendant, l’un des chefs de file des partisans, Jean-François Rime, ne dépose pas les armes. Entretien avec le président de la faîtière des PME, l’Union suisse des arts et métiers (Usam), également conseiller national (udc, FR).

Que reprochez-vous à cette taxe ­«Billag»?

Jean-François Rime: On aborde le problème par le mauvais bout. En 2015, à l’Usam, nous avions saisi le référendum contre la perception d’office de la redevance radio-TV. Le peuple a voté, nous avons perdu

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