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Toujours quelque chose à faire

L'article en ligne - Carnets de voyageLa PJ vous emmène en Corée du Sud, et plus particulièrement à Séoul, une ville dans laquelle on ne s’ennuie jamais.

Les artistes de rue animent le quartier de Hongdae en dansant ou en chantant.
Les artistes de rue animent le quartier de Hongdae en dansant ou en chantant.
Alternatif au racoon cafe, trop insolite, le dog cafe.
Alternatif au racoon cafe, trop insolite, le dog cafe.
Deux écolières près de la rivière Han à Séoul
Deux écolières près de la rivière Han à Séoul
Une ambiance cosy règne dans les book cafe. © Kessey Dieu
Une ambiance cosy règne dans les book cafe. © Kessey Dieu

Kessey DIEU

Publié le 20.09.2018

Temps de lecture estimé : 2 minutes

À Séoul, il y a toujours quelque chose à faire. C’est en tout cas l’impression que j’ai. Contrairement à Fribourg, les rues de la capitale sud-coréenne sont encore très animées une fois les magasins fermés. Même après la tombée de la nuit, les gens continuent à flâner dans les rues. Il est encore possible de croiser du monde à trois heures du matin. Certains cafés et restaurants sont même ouverts vingt-quatre heures sur vingt-quatre. On pourrait parfois croire que la ville ne dort jamais.

En Corée du Sud, les cafés sont très nombreux. Il y en a à chaque coin de rue et pour tous les goûts. Les plus originaux sont sûrement les cafés à thèmes. À Séoul, il est par exemple possible de boire un verre en compagnie de ratons laveurs dans un racoon cafe. Les jeunes sud-coréens semblent aussi grandement aimer les PC bang (littéralement « salle PC »). Beaucoup s’y rendent pour jouer en ligne devant des ordinateurs. L’un des concepts les plus intéressants est probablement le book cafe, où on peut passer la nuit à lire des bandes dessinées dans des couchettes confortables.

Une autre manière de se divertir est le karaoké, ou noraebang en coréen. Le concept est simple : pendant une heure, on chante en suivant les paroles qui défilent sur un écran. Le tout avec un micro et des lumières disco. Et franchement, c’est plutôt chouette. Le répertoire des chansons est très large. On y trouve les derniers hits de la k-pop, mais aussi les chansons américaines les plus récentes. En fouillant un peu, on peut même tomber sur les grands classiques de la chanson française, comme « La vie en rose » d’Édith Piaf ou encore « Poupée de cire, poupée de son » de France Gall.

Même déambuler dans les rues sans pénétrer dans les échoppes peut être intéressant à Séoul. Il suffit pour cela de trouver les bons quartiers. À Myeong-dong par exemple, il y a la cuisine de rue, ou street food, servant des spécialités coréennes mais aussi des mets plus universels. Faire un détour à Hongdae pour regarder de jeunes artistes de rue chanter ou danser vaut aussi le coup. Dans la capitale sud-coréenne, il y a toujours de s’occuper. D’ailleurs, se dire qu’on peut y faire tant d’activités sans même devoir la quitter est juste impressionnant.

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