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Raphaël Berger: «On respire»

L’antre des Dragons suscite de l’admiration, des critiques et engendre aussi des recettes supplémentaires

Raphaël Berger: «On respire»
Raphaël Berger: «On respire»

Patricia Morand

Publié le 09.11.2019

Temps de lecture estimé : 8 minutes

Patinoire » Un peu plus d’un mois et sept matches après avoir pris possession de son antre modernisé, toujours en travaux, Gottéron a trouvé ses marques. Au-delà de l’ébahissement des spectateurs dans ce volume bluffant, des critiques se sont aussi fait entendre. Le directeur général des Dragons Raphaël Berger évoque la hauteur des marches – un problème réel – et l’étude de solutions, mais aussi l’augmentation des recettes liées à l’exploitation de buvettes plus visibles.

Comment avez-vous vécu ces cinq dernières semaines dans une patinoire modernisée?

Raphaël Berger: Le temps a passé très vite, d’autant plus qu’il y a eu des soucis sportifs que nous n’avions pas imaginés (voir également ci-dessous, ndlr). Dans la patinoire, nous pouvons faire des expériences en live, ce qui n’est pas possible dans la plupart des infrastructures. Lorsqu’on construit du neuf, on constate ce qui ne va pas en entrant. Nous avons la chance de pouvoir valider des

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